« Il y a en moi une envie d’itinérance, de nomadisme, de liberté.
D’avoir une toute petite maison, mais un énorme jardin qui change tous les jours. »
Collectif le Bal des Rejetons
Arrivée à l’étang de Trémelin (Illeet- Vilaine), où elle va s’installer pour quelques jours.
Collectif le Bal des Rejetons
« Je mange quand j’ai faim, je me lave quand je pue. Je ne sais jamais quel jour on est, ni quelle heure il est… Je m’en fous. »
Collectif le Bal des Rejetons
« Ce qui me guide, c’est l’eau. Les lacs, les étangs, les rivières… Des espaces ouverts, lumineux.
C’est rassurant et plus pratique pour se doucher, laver son linge, faire sa vaisselle »
Collectif le Bal des Rejetons
Pour agrandir son espace, Agathe a équipé sa voiture d’une tente de toit.
Collectif le Bal des Rejetons
« La pluie, le froid, l’hiver… À partir de décembre, tout devient plus difficile. »
Collectif le Bal des Rejetons
Grâce à un rangement astucieux, elle arrive à avoir l’essentiel toujours à portée de main.
Collectif le Bal des Rejetons
En route, vers la forêt de Brocéliande.
Collectif le Bal des Rejetons
Tous les cimetières disposent d’un robinet d’eau potable. Elle s’y rend pour s’approvisionner.
Collectif le Bal des Rejetons
« Je viens de faire une formation en maraîchage bio. Je côtoie de plus en plus de gens qui partagent
les mêmes valeurs que moi : la sobriété heureuse, la résilience. Et le même mode de vie. »
Collectif le Bal des Rejetons
Chez Florence Goulley, fondatrice d’Herbarius, jardin potager et médicinal, près de Lamballe (Côtes-d’Armor).
Collectif le Bal des Rejetons
Avec «Bleu», son compagnon de route.
Collectif le Bal des Rejetons
Elle a réussi à faire de sa voiture un lieu douillet où dormir, cuisiner, dessiner, écrire, rêver…
Collectif le Bal des Rejetons
« Je ne reste jamais une semaine au même endroit, sauf lorsque je trouve un petit boulot, dans une ferme ici ou là. »
Collectif le Bal des Rejetons
Dans le cimetière d’Hillion, près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor).
Collectif le Bal des Rejetons
Contemplative, Agathe passe de longs moments à observer la nature.
Collectif le Bal des Rejetons
« Je n’ai pas de frigo, je consomme au jour le jour : je fais la fin des marchés, la fermeture des magasins…
Je récupère parfois les invendus, des produits à peine abîmés. Il y a trop de gâchis. »
Collectif le Bal des Rejetons
Dans le calme de la nuit, Agathe aime entendre les chouettes hulottes.
Collectif le Bal des Rejetons
La fée du feu.
Collectif le Bal des Rejetons
Réduire au minimum ses dépenses, ses besoins, son empreinte écologique, vivre de peu mais comme elle l’entend… Pour Agathe, 31 ans, la sobriété heureuse n’est pas qu’un slogan. Depuis quelques années, elle vit dans sa voiture, aménagée comme un cocon, avec la nature toujours à portée de main. En marge d’une société de surconsommation dans laquelle elle se reconnait mal, elle roule sa bosse de saisonnière sur les routes de l’Ouest. Un mode de vie choisi, et non subi, qui la libère et la rassure.
Collectif le Bal des Rejetons
« Il y a en moi une envie d’itinérance, de nomadisme, de liberté.
D’avoir une toute petite maison, mais un énorme jardin qui change tous les jours. »
Collectif le Bal des Rejetons
Arrivée à l’étang de Trémelin (Illeet- Vilaine), où elle va s’installer pour quelques jours.
Collectif le Bal des Rejetons
« Je mange quand j’ai faim, je me lave quand je pue. Je ne sais jamais quel jour on est, ni quelle heure il est… Je m’en fous. »
Collectif le Bal des Rejetons
« Ce qui me guide, c’est l’eau. Les lacs, les étangs, les rivières… Des espaces ouverts, lumineux.
C’est rassurant et plus pratique pour se doucher, laver son linge, faire sa vaisselle »
Collectif le Bal des Rejetons
Pour agrandir son espace, Agathe a équipé sa voiture d’une tente de toit.
Collectif le Bal des Rejetons
« La pluie, le froid, l’hiver… À partir de décembre, tout devient plus difficile. »
Collectif le Bal des Rejetons
Grâce à un rangement astucieux, elle arrive à avoir l’essentiel toujours à portée de main.
Collectif le Bal des Rejetons
En route, vers la forêt de Brocéliande.
Collectif le Bal des Rejetons
Tous les cimetières disposent d’un robinet d’eau potable. Elle s’y rend pour s’approvisionner.
Collectif le Bal des Rejetons
« Je viens de faire une formation en maraîchage bio. Je côtoie de plus en plus de gens qui partagent
les mêmes valeurs que moi : la sobriété heureuse, la résilience. Et le même mode de vie. »
Collectif le Bal des Rejetons
Chez Florence Goulley, fondatrice d’Herbarius, jardin potager et médicinal, près de Lamballe (Côtes-d’Armor).
Collectif le Bal des Rejetons
Avec «Bleu», son compagnon de route.
Collectif le Bal des Rejetons
Elle a réussi à faire de sa voiture un lieu douillet où dormir, cuisiner, dessiner, écrire, rêver…
Collectif le Bal des Rejetons
« Je ne reste jamais une semaine au même endroit, sauf lorsque je trouve un petit boulot, dans une ferme ici ou là. »
Collectif le Bal des Rejetons
Dans le cimetière d’Hillion, près de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor).
Collectif le Bal des Rejetons
Contemplative, Agathe passe de longs moments à observer la nature.
Collectif le Bal des Rejetons
« Je n’ai pas de frigo, je consomme au jour le jour : je fais la fin des marchés, la fermeture des magasins…
Je récupère parfois les invendus, des produits à peine abîmés. Il y a trop de gâchis. »
Collectif le Bal des Rejetons
Dans le calme de la nuit, Agathe aime entendre les chouettes hulottes.
Collectif le Bal des Rejetons
La fée du feu.
Collectif le Bal des Rejetons
Réduire au minimum ses dépenses, ses besoins, son empreinte écologique, vivre de peu mais comme elle l’entend… Pour Agathe, 31 ans, la sobriété heureuse n’est pas qu’un slogan. Depuis quelques années, elle vit dans sa voiture, aménagée comme un cocon, avec la nature toujours à portée de main. En marge d’une société de surconsommation dans laquelle elle se reconnait mal, elle roule sa bosse de saisonnière sur les routes de l’Ouest. Un mode de vie choisi, et non subi, qui la libère et la rassure.
Collectif le Bal des Rejetons